Un peu de dérangement dans le quotidien, ici, à St Péravy, et c’est tout de suite la fête. J’entends chanter, je reconnais la musique d’un accordéon mais ce que j’aime par-dessus tout, ce sont les voix des enfants. Parce qu’elles ressemblent à la mienne, mais en plus beau, en plus chaud, en plus tendre.
Le merle de la vieille école