Marie EMERY

Répond à la LETTRE SEMÉE N°4 : D’une fleur de colza à une fille de la campagne

Peintre autodidacte, glaneuse de papiers perdus, d’histoires oubliées, elle colle, recolle,dechire,defriche des territoires enterrés. Le travail se fait avec le temps. Lentement. Quelquefois il ne reste « plus rien », sans doute l’essentiel qui n’est jamais bavard : une trace, une empreinte ? le passage d’un hasard évoqué.
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