Geraldine Aresteanu

Répond à la LETTRE SEMÉE N°62 : Des herbes dites mauvaises à vous

Elle découvre la photographie à 13 ans à Bucarest après la révolution roumaine, et y voit l’expression d’une liberté qui avait disparue de son pays natal. Photographe indépendante depuis 1998, elle développe parallèlement à son activité professionnelle pour de nombreux clients, une recherche personnelle dont l’humain est le centre et le moteur. L’histoire de l’humain, d’un quotidien, d’un ordinaire extraordinaire.
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