Cher randonneur,
Je remercie mon agriculteur de me nourrir et de me mettre à l’abri dans ses cultures.
Oui je l’avoue, j’aime me rouler dans sa terre fraîchement ensemencée, grignoter ses précieuses semences en remontant les sillons qu’il a si gracieusement semés.
Jouer à cache-cache et pique-niquer des beaux épis de maïs que je trouve en libre-service dans ses champs verdoyants les beaux jours venus.
Ce qui me surprend, c’est pourquoi il fait tant d’efforts pour me régaler et me divertir ?
A moins que le fruit de tout ce travail ait pour but de nourrir les hommes…
Je suis à sa disposition pour échanger sur son métier.
Son voisin qui n’est jamais bien loin,

Le sanglier