Cher Gibbs,
Je me souviens quand on est allés, mes parents, ma sœur et moi, au salon du chiot. Maman ne voulait pas acheter de chien, puis elle a cédé à nos supplices. On a tous craqué pour toi. Deux petits mois et demi et puis tes petites oreilles pendantes (trop mignonnes).
Et puis les mois ont passé et les bêtises sont arrivées !
Tu as déchiré notre canapé alors que tu avais toute notre confiance. Maman a pleuré toute la soirée puis elle l’a recousu. Papa était vraiment fâché. Puis tu as recommencé. Alors là, ça a été encore pire, on a voulu se séparer de toi, mais moi et Charlène avons refusé. Papa a trouvé une solution : « ON VA T’ATTACHER DANS LA CUISINE ! », a-t-il dit, « Pour que tu ne recommences plus à faire de bêtises ! » a-t-il ajouté. Alors ne parlons pas de tes promenades, QUELLE HORREUR ! Quand on veut te promener, tu tires tout le temps. Ta promenade, elle peut-être agréable pour toi, mais pas pour celui qui te promène. Mais quand même, j’adore jouer avec toi dans mon jardin, te caresser. Quel moment de détente !
Bisous,
Ta chère Chloé