Chers enfants,
Quel plaisir de se retrouver avec vous pour vous raconter notre enfance, vous faire partager ce que nous avons vécu ; tous ces beaux paysages, changeant au cours des saisons. Mais tant de choses ont évolué. Nous ne pouvons penser à votre beauté sans parler des moulins à vent. Chaque pays avait le sien. Quel dommage de les avoir laissés se dégrader. La fée lumière est passée par là. Aujourd’hui les éoliennes tentent de les remplacer. Mais cela me laisse toujours un petit pincement au cœur. Profitez bien de ce que vous voyez, emplissez-vous les yeux et vivez heureux.
La Bavarde.