Cher if,
Toi qui es si grand, je te vois même dans la rue par-dessus le portail. Tous les jours, je vois plein d’oiseaux sur toi. J’y vois souvent des tourterelles qui embêtent mes parents.
Je te reproche vraiment de faire des boules rouges et de les laisser tomber, car ça colle aux chaussures et salit la maison. Je te reproche aussi, chaque été, de faire de l’ombre juste au-dessus de ma piscine gonflable.
Je te plains de ne pas pouvoir bouger.
Au revoir,
Héloïse