La jarouille,
On t’appelait la viande qui mouille…
Ça faisait de bonnes potées la jarouille !
Il y avait un secret pour te faire cuire,
Un bout de cochon…Fallait l’réjouir !
On rajoutait des pattes de poules,
On en faisait frémir des foules…
Que sur ta soupe, il y avait des yeux !
Qui rendent ton bouillon bien plus précieux…
Dans ton pot auguste,
Il y avait de la nature,
Des ondes de coutumes
Et des leurres en saumure…
Claudine